La story
Xi Hao
Xi Hao, étudiant chinois
Étudiant chinois, j’effectue un échange grâce à l’accord de coopération entre la SISU ( Shanghai International Studies University) et l’ICT.
Étudiant chinois et passionné par l’Histoire de France
Xi Hao n’a pas choisi l’ICT par hasard ! Après de nombreuses recherches, il découvre L’institut Catholique de Toulouse créé en 1877 sur le rempart Gallo-romain du 3ème siècle de Toulouse. Il vérifie la qualité des formations, évalue positivement l’accompagnement qui est proposé pour les étudiants internationaux et valide auprès de son université la possibilité de partir en échange à l’ICT. Tout est réuni! Passionné d’histoire, il se décide donc à venir étudier en France, à Toulouse, au sein d’un Institut vieux de 140 ans.
Pour ses démarches administratives, il a été accompagné par le service des Relations Internationales qui l’a aidé.
Une licence en Lettres Modernes pour devenir interprète.
Une fois installé dans une résidence du CROUS, il a débuté sa scolarité en licence Lettres Modernes (découvrir la formation en Lettres Modernes). Pas facile lorsque l’on ne parle pas couramment le français. Il s’est rapidement trouvé des amis et a pu participer aux événements d’intégration organisés par l’ICT. Grâce au cours de Français Langue Etrangère (FLE) dispensés tous les mercredis il améliore son français même si selon lui la conjugaison française reste beaucoup plus difficile qu’en Chine.
Ce qu’il préfère en France ? Le climat tempéré, la cuisine locale mais aussi la taille humaine de la ville de Toulouse que l’on peut visiter facilement.
Quant à son avenir, Xi Hao imagine faire sa dernière année de licence en Chine et devenir interprète franco-chinois dans son pays.
Il a également été auditionné et choisi pour représenter les talents étudiants de l’ICT lors de la rentrée solennelle. C’est l’un des évènements majeurs de l’année universitaire. Il y jouera, devant un parterre de 300 convives, 3 morceaux de violon dont un en duo avec une amie étudiante comme lui à l’ICT.
«Le violon me manquait. Je n’avais pas pu prendre mon instrument pour venir en France. Heureusement, l’ICT a bien voulu me louer un violon chez un luthier toulousain et je peux ainsi m’exercer quotidiennement ! C’est une grande chance.»
«Le violon me manquait. Je n’avais pas pu prendre mon instrument pour venir en France. Heureusement, l’ICT a bien voulu me louer un violon chez un luthier toulousain et je peux ainsi m’exercer quotidiennement ! C’est une grande chance.»