La story
Marion
Etudiante de 1ere année durant la crise sanitaire
Étudiante de première année en Langues Étrangères Appliquées (LEA), Marion revient sur ses premiers pas à l’ICT. Une année pas comme les autres qui mêle déjà présentiel et distanciel.
Pas toujours facile d’être étudiante en 2020, c’est pourtant pendant cette période que Marion a fait sa rentrée à l’ICT. Une rentrée en présentiel qui lui a permis de se familiariser avec les matières, les professeurs et de connaître quelques-uns de ses camarades de classe.
Très vite, il a fallu basculer en distanciel. Marion appréhendait beaucoup cela. Tout s’est pourtant bien déroulé. Les cours se suivent à distance et en cas de difficultés, elle peut faire appel à ses professeurs ou à ses camarades de promo grâce aux groupes crées sur les réseaux sociaux. Ce n’est pas la même chose mais on s’adapte et on s’accroche nous dit-elle.
Elle poursuit donc son chemin et rêve déjà d’une mobilité internationale. Passionnée de voyage et notamment du Japon, elle prévoit déjà de partir en 2eme ou 3eme année. Lors de sa venue aux journées portes ouvertes de l’ICT, elle avait rencontré les relations internationales avec qui elle avait échangé sur les destinations possibles. Ce voyage sera l’occasion d’approfondir son apprentissage du japonais commencé cette année à l’ICT.
Effectivement, en LEA, elle apprend 3 langues et construit déjà son orientation en effectuant les démarches pour passer des certificats en espagnol (DELE) et en anglais (Cambridge) qui lui permettront de justifier de son niveau en langue. L’apprentissage est d’autant plus facilité nous dit-elle car les professeurs sont souvent des natifs (Colombie, Espagne ou encore Angleterre) et cela rend les cours beaucoup plus vivant.
Originaire de Saint Amancet dans le Tarn, elle avait peur de ne pas s’adapter à la vie en ville mais elle a vite été conquise à la fois par l’architecture et les jardins de l’ICT mais aussi la possibilité de se ressourcer dans les jardins de Toulouse.
Plus tard, elle espère pouvoir lier sa passion pour les voyages et ses études, pourquoi pas travailler dans l’humanitaire. Rien n’est encore arrêté aujourd’hui et elle se laisse quelques années pour peaufiner son projet professionnel.
